31 octobre 1665.
Wall street.
Banlieue paisible, sans histoire......
31 octobre 1666
Wall street.
Banlieue avec de grand problemes.
Des cadavres. Oui, je vois.....je vois des cadavres, dans la rue, dans mes rêves et cauchemard. Partout.............
Ou que j'ailles ils me suivent.........
Que ce passe t'il? Quel est cet endroit?
Je...........je ne connait pas cet endroit..............
Qu'est ce que c'est??
Une lumiere brillait, une lumiere à la fois paisible et douce, mais aussi d'une angoisse violente. La lumiere j'aissai devant moi tel une boule de cristal. La lumiere devenait de plus en plus fort au fur et a mesure que j'avancais.
J'avancais, tendait mon bras pour attraper cette lumiere qui touchait le bout de mes doigts tel un fil de soie.
Chaque nuit, chaque nuit le même rêve, la même angoisse, le même denouement: etre reveillé en suant, tremblant, avec des egratinures sur le corps et le visage, une odeur de chien mouillé.
Mais pourquoi trembler?? Pourquoi cette odeur et ces blessures?
Chaque soir, lorsque j'allais me coucher, je sentais que mon rêve approchait de plus en plus vers son dénouement finale.
Chaque soir, mon rêve s'approchait de sa signification.
Le soir d'Halloween, le 31octobre 1666, j'allais me coucher tardivement, et ce n'était pas dans mes habitudes. Il était minuit moins le quart.
Les superstitions a cette epoque étaient trés nombreuses; les loups, les fantômes, les sorciers, trolls, lutin, petit monstre des marrais..............
Mais, cette soirée n'arrangeais rien, la pleine lune était. Invisible mais présente derriere de gros nuage épais et noir tel du charbon.
La nuit pour moi n'en fut pas sans conséquence, j'était trés supersticieux.
Ma chambre était orné de petites Idôles pour me proteger de ces nuits maudites.
Cette nuit fut certainement la nuit la plus agitée de cette année.
La lumiere de mon rêve devenait aveuglante, envoutante, stressante, angoissante, deprimant. Aprés avoir passé quelque minute devant cette lumiere diablesque, un noir tel du charbon pris la place de cette lumiere.
Plus rien n'existait, la salle était noir, vide. Je ne voyait rien. J'avais beau parlé, aucun écho ne revenait m'envahir les oreilles comme mes nuit precedentes. J'avancais, j'avancais................ rien, j'avait beau me ftiguer vancé, rien n'était sur mon chemin, aucune marche, aucune pierre, aucun obstacle. Un neant absolu, un calme qui peut effrayer les personnes mêmes les plus Zen qu'y soit.
J'ai appris.
Appris à errer comme un fantôme dans une maison deserte.
1heure? 2heures? 5heures? 1jour? 5jours? 1semaine? 1mois? 1an?
Je ne sais pas depuis combien de temps j'erre dans cette "salle" rempli d'ombres fantasmagoriques....................................